Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.
Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant ce texte.
Après deux longues et prenantes nouvelles, ajoutez à cela d’éreintantes lectures pour les cours et un concours d’obligations multiples, soir après soir, ainsi le texte de la semaine ne pouvait pas prendre autant d’ampleur.
C’est pourquoi il est placé sous le signe de l’inachevé, du « et après…? » C’est pourquoi j’ai choisi la forme du haïku, qui n’éclaircit pas forcément ce que je raconte dans les sous-titres de chaque jour.
Ce matin, j’avais honte. Je me flagellais pour mon indiscipline de cette semaine. Mais quand j’y repense, cette semaine j’ai aussi oeuvré pour mon écriture. Pas par le grattage frénétique d’une page de papier, ni par des exercices de style toujours plus complexes, ni par des enchaînements d’actions toujours plus farfelues… Je n’ai pas travaillé mon écriture, mais j’ai oeuvré pour elle en vivant.
De là un texte plus introspectif, tout dans la suggestion, à la façon de « Domus Somnitextoris ».
Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.
Bradbury Sunday #12 : « Lamentation des murs »
Je vous exhorte, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.
De bonnes lectures, et à dimanche prochain !
N.B. : Quand je dis que je me flagellais, c’est bien entendu métaphorique !