Bradbury Sunday #12 : « Lamentation des murs »

Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.

Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant ce texte.

Après deux longues et prenantes nouvelles, ajoutez à cela d’éreintantes lectures pour les cours et un concours d’obligations multiples, soir après soir, ainsi le texte de la semaine ne pouvait pas prendre autant d’ampleur.

C’est pourquoi il est placé sous le signe de l’inachevé, du « et après…? » C’est pourquoi j’ai choisi la forme du haïku, qui n’éclaircit pas forcément ce que je raconte dans les sous-titres de chaque jour.

Ce matin, j’avais honte. Je me flagellais pour mon indiscipline de cette semaine. Mais quand j’y repense, cette semaine j’ai aussi oeuvré pour mon écriture. Pas par le grattage frénétique d’une page de papier, ni par des exercices de style toujours plus complexes, ni par des enchaînements d’actions toujours plus farfelues… Je n’ai pas travaillé mon écriture, mais j’ai oeuvré pour elle en vivant.

De là un texte plus introspectif, tout dans la suggestion, à la façon de « Domus Somnitextoris ».

Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.

Bradbury Sunday #12 : « Lamentation des murs »

La playlist

Je vous exhorte, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.

De bonnes lectures, et à dimanche prochain !

N.B. : Quand je dis que je me flagellais, c’est bien entendu métaphorique !

Bradbury Sunday #11 : « Anno 2112 »

Le lien de téléchargement pour la nouvelle est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur cette nouvelle. 

Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant cette nouvelle.

Que de références, dans cette nouvelle ! Je me suis encore plus amusé avec celle-ci qu’avec d’autres. Notez qu’il s’agit d’une sorte de spin-off de la précédente, « Le chalet au piano »  D’où l’intrigue quelque peu complexe et la mise en abîme avec le récit de Constantin Trocurieux, dans ce récit, son compte rendu de l’entretien avec le capitaine, dans celui-ci un autre récit, l’histoire-même du capitaine Nocher… Un rêve dans un rêve…

La mise en abîme est peut-être imagée par le contexte de l’histoire racontée par le capitaine : un voyage au fond de l’océan où il va découvrir plusieurs choses extraordinaires, mais rien de ce à quoi il pouvait s’attendre…

Au lecteur de les découvrir !

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Bradbury Sunday #11 : « Anno 2112 »

La playlist

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Bradbury Sunday #10 : « Le chalet au piano »

Le lien de téléchargement pour la nouvelle est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur cette nouvelle. 

Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant cette nouvelle.

Je crois que cette nouvelle est une de celles qui m’aura été le plus dures à porter. J’entends par-là qu’elle est le résultat d’un tel foisonnement d’idées durant la semaine que, certains soirs, elle me pesait tant que je n’arrivais pas à dormir, réfléchissant plus sur comment construire la trame que cherchant à réellement m’endormir.

Ayant écrit une histoire relativement dure la semaine dernière – je l’ai trouvée dure, en tout cas – j’avais aussi envie de raconter quelque chose de plus positif, ne serait-ce qu’envoyer un message d’espoir, une lueur dans les ténèbres de ce triste monde.

Je pense que la musique, et l’art en général, permet ceci. C’est pourquoi elle occupe une place importante, voir le rôle central, plus encore que mon pianiste qui n’en est, finalement, que le véhicule. Et quitte à écrire avec une playlist, autant m’amuser avec celle-ci comme élément à part entière de ma nouvelle !

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La playlist

Bradbury Sunday #10 : « Le chalet au piano »

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Bradbury Sunday #9 : « Miller »

Le lien de téléchargement pour la nouvelle est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur cette nouvelle. 

Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant cette nouvelle.

Connaissez-vous Black Mirror ? Je demande cela parce que je pense que cette nouvelle pourrait être à la base d’un épisode de cette série.

En effet, je propose un scénario tragique où un élément de technologie – ici, les robots et les véhicules autonomes –, supposé améliorer notre vie, pourrit dans cette nouvelle la vie de mon protagoniste-narrateur. J’en reste là pour le résumé, afin de ne pas spoiler l’histoire.

Je ne pense pas que la technologie en soi est mauvaise. Ce que je tente de pointer du doigt, de manière surréaliste et exagérée, c’est plutôt l’usage parfois abusif et complètement irréfléchi qu’on peut en faire, ainsi que la façon parfois malhonnête de nous la vendre. C’est ça, selon moi, qui est mauvais. Quand l’humain se rend dépendant des appareils et que ces derniers se mettent à régir sa vie sans qu’il y trouve quoi que ce soit à redire, il ne peut pas se passer que de bonnes choses.

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Bradbury Sunday #9 : « Miller »

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De bonnes lectures, et à dimanche prochain !

Avertissement : changement de licence Creative Commons

Bonjour, bonsoir,

Juste un petit billet pour vous annoncer que j’ai changé de licence Creative Commons pour mes oeuvres. J’ai en effet décidé d’autoriser les utilisations commerciales de mes oeuvres, ce qui n’était pas permis sous la licence précédente. Ainsi, cela donne plus de liberté à ceux qui voudraient peut-être adapter ou s’inspirer de mes textes.

Licence Creative Commons
Les œuvres que je publie sur ce site sont mises à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution 4.0 International.

Une fois encore, merci de la respecter.

De bonnes lectures à vous, ici ou ailleurs, et à demain pour le Bradbury Sunday #9 !