Parution d’un de mes textes sur l’Epître

Chères lectrices, chers lecteurs.

En plus de l’hebdomadaire publication du Bradbury Sunday #19, un de mes textes courts a été publié sur le site de la revue littéraire fribourgeoise en ligne L’Épître.

Le texte s’intitule De haut en baset il a cela de particulier qu’il tient à la fois du haïku et du calligramme, d’où le sous-titre valise : un haïkalligrame.

Je me permets de citer le mail de Matthieu Corpataux : « Mathieu Haas [et d’autres auteurs publiés aujourd’hui] sont jeunes, doués, et progressent à chacun de leur texte. » Ce n’est pas beaucoup, un bref commentaire, mais grands dieux qu’il fait du bien ! C’est l’ego de l’auteur qui parle ici, mais il est intimement lié (pour moi, en tout cas) à la motivation de créer. C’est pour cela que j’insiste beaucoup, cher lecteurs, que vous me donniez des retours sur tout ce qui est publié ici, ne serait-ce qu’une brève critique globale du texte (pas besoin de le commenter mot à mot, à moins que l’envie ne vous en prenne…), juste pour que je sache quels sont mes points forts et, surtout, pour que je sache quels sont mes points faibles. Les critiques (constructives !) sont le miroir impitoyable de la qualité de l’oeuvre.

Pour lire ce nouveau texte, et lire tous mes autres textes publiés dans la revue, ainsi que d’autres d’autres auteurs encore plus talentueux que moi, cliquez ici.

N.B. : Ce texte n’est pas soumis à la licence CC comme mes Bradbury Sundays.

De bonnes lectures, et à dimanche prochain !

Publication d’un de mes textes sur le site L’Épître

Chères lectrices, chers lecteurs,

En plus de l’hebdomadaire publication du Bradbury Sunday #13, j’ai eu le plaisir aujourd’hui d’apprendre qu’un de mes textes courts a été publié sur le site de la revue littéraire fribourgeoise en ligne L’Épître.

Le texte s’intitule Köln ConcertJ’ai tenté de calquer son rythme sur celui des improvisations magistrales de Keith Jarrett au piano, et cela semble avoir fonctionné.

Je suis encore et toujours reconnaissant pour pour la sollicitude de mon ami Matthieu Corpataux qui, même si c’est en partie son métier d’éditeur, ne manque jamais de peser le pour et le contre de chacun des textes qu’on lui propose et est toujours capable d’en tirer une critique pertinente, capable de faire avancer l’auteur qui y est ouvert… Je lui dois beaucoup à mon avancée dans l’écriture.

Pour le lire, et lire tous mes autres textes publiés dans la revue, ainsi que d’autres d’autres auteurs encore plus talentueux que moi, cliquez ici.

N.B. : Ce texte n’est pas soumis à la licence CC comme mes Bradbury Sundays. Si vous voulez l’utiliser ou le citer pour une de vos œuvres, veuillez prendre contact avec le rédacteur en chef de la revue. 

De bonnes lectures, et à dimanche prochain !