Bradbury Sunday #37 : « Un manifeste »

Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.

Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant ce texte.

Manque d’idées par manque de temps pour les faire germer ; expérimentation d’une nouvelle forme.

Un manifeste que je résumerais par les mots de Blaise Cendrars, dans son poème Pourquoi j’écris : Parce que…

Car aucune raison n’est bonne pour écrire, de même que toutes les raison sont bonnes pour écrire.

La playlist

Bradbury Sunday #37 : « Un manifeste »

Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.

Je vous exhorte, chère lectrice, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.

De bonnes lectures, et à dimanche prochain !

Bradbury Sunday #36 : « L’image »

Pas de commentaire particulier pour ce texte cette semaine. Pas dans l’immédiat, du moins. 

La playlist

Bradbury Sunday #36 : « L’image »

Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.

Je vous exhorte, chère lectrice, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.

De bonnes lectures, et à dimanche prochain !

[En passant] Invitation à soutenir l’Épître

Chères lectrices, chers lecteurs,

Vous n’êtes pas sans savoir que, outre les Bradbury Sundays et d’autres textes publiés en licence libre sur mon blog, j’ai également été publié à plusieurs reprises dans la revue en ligne L’Épître.

Or, récemment, la revue a décidé de se professionnaliser. Ils sont partis de rien il y a cinq ans et, victimes de leur succès, ils ont dû prendre la décision de lancer un crowdfunding afin de permettre à L’Épître de continuer à promouvoir et soutenir les jeunes auteurs, la création littéraire et la promotion de la littérature en Suisse romande.

C’est pourquoi j’invite les quelques lectrices et lecteurs de mon blog à participer à ce crowdfunding. Très souvent, à ce que je perçois, les jeunes auteurs sont jetés dans la nature et doivent se frayer un chemin d’eux-mêmes dans le monde cruel de l’édition. Beaucoup n’osent pas faire le pas. Combien de fois a-t-on entendu « j’ai écrit un texte mais je n’ose pas le publier » ou « j’écris, j’écris, mais je n’arrive pas à finir mon texte » etc. ? L’Épître est une solution à ces problèmes : elle permet aux auteurs, par sa formule de « petite littérature très courte » (des textes de maximum 500 mots sur le site et de maximum 5000 mots pour la publication papier annuelle), de s’imposer une contrainte féconde pour que leur texte aboutisse. De plus, chaque texte, qu’il soit publié ou non, est lu et dûment critiqué dans un retour synthétique envoyé à l’auteur. La revue peut donc servir de tremplin aux plumes encore timides ou, aux plumes déjà affirmées voire confirmées (Nancy Huston ou Jean-François Haas, par exemple), elle permet de s’épanouir ailleurs que chez les éditeurs conventionnels.

Je ne vais pas rentrer dans les détails concernant les améliorations que permettra votre soutien, la page sur WeMakeIt le fait bien mieux que moi. Vous y trouverez également les différentes contreparties qui vous seront octroyées grâce à votre don.

Pour ma part, je vous exhorte simplement, chère lectrice, cher lecteur, à soutenir l’Épître. Pour les auteurs. Pour la revue. Pour la grande et belle petite littérature très courte. Pour l’écriture.

Soutenez l’Épître !

Bradbury Sunday #35 : « Chambre désordonnée »

Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.

Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant ce texte.

Comme l’annonce le début de ce poème narrativo-introspectif et intertextualisé, tout est parti d’une brève méditation entamée cette semaine. J’étais chez l’hygiéniste dentaire quand celle-ci, passionnée par son métier – étonnant d’être passionné par quelque chose qui au commun des mortels paraît plus que banal : l’hygiène dentaire qu’on nous rabâche à coup de publicités et de prévention à l’école, etc., mais d’autre part j’étais heureux de voir que dans n’importe quelle activité, un humain peut s’épanouir – m’a expliqué que le requin était le seul animal dont les dents repoussaient. De fil en aiguille, j’ai repensé à l’ouverture de L’opéra de Quat’sous de Brecht et à la chanson Haifisch de Rammstein (le texte de ce dimanche est placé sous le signe de la poésie allemande) puis le texte s’est tissé autour de ce fil rouge.

Mes mêmes obsessions reviennent, de l’amour perdu à l’angoisse de l’avenir en passant par les regrets du passé. De ce point de vue, le BS #35 est typique de l’auteur que je suis en ce moment.

Je me rends compte aussi que ces temps-ci, les examens approchant, il sera très difficile de me lancer dans une nouvelle – à voir les nouvelles que j’ai écrites ces derniers temps, je ferais mieux de m’éloigner de ce genre d’histoires un moment : il me faut, comme pour ce poème, commencer par la fin : le coup des dents de requin ; de même, pour une nouvelle, je dois avant de l’écrire trouver, déraciner la dent de requin, c’est-à-dire la fin, à laquelle aboutira l’histoire –  c’est pourquoi le mois de mai sera un mois probablement plus poétique. Je dis ça aujourd’hui, mais tout dépendra de mon inspiration et de mon humeur de la semaine.

La playlist

Bradbury Sunday #35 : « Chambre désordonnée »

Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.

Je vous exhorte, chère lectrice, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.

De bonnes lectures, et à dimanche prochain !