Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.
Pas de playlist.
Comment ? J’avais promis le retour des nouvelles ? C’était sans compter le manque d’inspiration. J’avais sous estimé la retombée de plusieurs fatigues et tensions au début des vacances. Voilà de nouveau, un poème auto-centré et méditatif sur ma condition de ces jours…
De plus, le fait que je pédale dans la choucroute pour écrire, ces temps-ci, est probablement lié à ma lecture actuelle : La Guerre et la Paix, de Tolstoï, dans la traduction de Boris de Schloezer, aux éditions Folio. C’est un roman total, qui embrasse tant de thématiques profondes avec presque toujours une justesse irréprochable : on a l’impression, à la lecture, que Tolstoï a tout dit, que son texte est indépassable, ce qui est faux, un texte est toujours dépassable, mais celui-ci est aussi imposant que la carrure de Pierre Bézoukhov ! C’est pourquoi on réfléchit à deux fois avant d’écrire en refermant la page du roman : on est sûr que ce sera moins bien. Mais mon but n’est pas non plus de faire du Tolstoï. Simplement, son roman me happe probablement trop pour que je puisse écrire l’âme tranquille.
Est-ce que je me cherche des excuses pour écrire aussi peu par semaine ? C’est possible. Mais je pense que les raisons évoquées plus haut ont leur part de pertinence.
Bradbury Sunday #41 : « À sec »
Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.
Je vous exhorte, chère lectrice, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.
De bonnes lectures, et à dimanche prochain !