Le lien de téléchargement pour la nouvelle est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur cette nouvelle.
Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant cette nouvelle.
Cette semaine, j’ai de nouveau bifurqué. C’est-à-dire que je suis de nouveau parti d’une idée pour, finalement, l’abandonner et démarrer tout autre chose. Ceci peut, entre autres, expliquer la longueur (2 pages !) réduite du texte de cette semaine.
La forme est très imagée, proche du conte. Je ne vais bien entendu pas révéler qu’est-ce qui représente quoi. Le but de cette forme est que le lecteur y trace son propre itinéraire à travers le manoir infini, et le jardin qui l’entoure, du domaine de mon narrateur.
Permettez-moi maintenant une réflexion plus générale…
Il y a un peu plus d’un mois que j’ai lancé ce projet et j’ai parfois l’impression de m’essouffler, que ma Muse a pris des vacances. J’arrive aussi moins à prendre le temps de prendre la plume. Mais comme le dit le poète : Sed fugit interea, fugit irreparabile tempus, singula dum capti circumvectamur amore.
C’est pourquoi les derniers textes sont peut-être moins audacieux, plus proches de l’exercice de style que de la réelle histoire. Il faut me rendre à l’évidence : je ne peux pas avoir une idée géniale par semaine. Des textes tels que Tesseract ou Un rouge-gorge dans l’oranger sont les fruits d’un agencement particulièrement heureux d’images et d’idées mises ensemble au bon moment. Ces deux textes font partie de mes BS favoris jusqu’ici, mais je me rends bien compte que tous ne sont pas miraculés de la sorte.
Néanmoins je reste fier de chacune de mes créations, ne serait-ce que d’avoir été capable de les terminer, malgré leurs nombreuses imperfections.
Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.
Bradbury Sunday #8 : « Domus Somnitextoris »
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De bonnes lectures, et à dimanche prochain !