Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.
Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant ce texte.
Deux contraintes pour cette nouvelle : me tenir à la versification (majorité d’alexandrins, pour un octosyllabe ou un décasyllabe par-ci par-là) et, comme pour le Bradbury Sunday #3, parler d’un sujet si commun et si dur à aborder : l’histoire d’amour.
Mes propres réflexions et quelques rencontres récentes m’ont mené à arriver à la conclusion exprimée sous forme de morale à la fin du texte. J’omettrai de trop m’étaler sur ce sujet, car il me touche de près et je risque très vite de m’emballer en relatant des expériences personnelles…
Je retiens surtout la difficulté de s’en tenir à la fois à la fluidité de la syntaxe et à la limite du nombre de syllabes par vers. En relisant le texte, j’ai l’impression de n’avoir qu’à moitié réussi l’exercice, certains vers étant artificiellement tordus pour respecter la contrainte. Néanmoins, c’est un exercice intéressant et ô combien stimulant, tant dans la recherche lexicale que dans l’économie des mots.
Bradbury Sunday #29 : « Romance et paix »
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De bonnes lectures, et à dimanche prochain !