Le lien de téléchargement pour le texte est à la fin de cet article. Vous pouvez y aller si vous ne voulez pas lire mes réflexions sur ce texte.
Est également donnée en lien la playlist de ce que j’écoutais en écrivant ce texte.
Les textes écrits en une semaine ne volent pas nécessairement très haut. Celui-ci a été écrit en moins d’un jour, sous l’urgence de me tenir à mon échéance du dimanche. Je n’irai pas jusqu’à dire que cette histoire est mauvaise. Je me suis malgré tout beaucoup amusé à l’écrire. Mais elle ne compte clairement pas parmi les meilleures que j’ai pu vous proposer sur ce site.
L’exercice de jouer sur les points de vue est toujours aussi amusant. Il est possible que j’aie poussé ce jeu un peu trop loin et que cela perde le lecteur. Si c’est le cas, tant pis. Maintenant, c’est écrit.
Si le côté un peu brouillon de l’histoire me désole, j’espère qu’un lecteur inspiré pourra en tirer quelque chose de meilleur. La licence libre de mes textes est aussi là pour ça. Si d’aventure vous parvenez à créer quelque chose, qu’il s’agisse d’un texte, d’un dessin, d’un morceau de musique – n’importe quelle création – n’hésitez pas à me l’envoyer. Si je n’arrive pas à être pleinement satisfait de mes créations, j’aime néanmoins voir ce que quelqu’un d’autre pourrait éventuellement en tirer.
Après 34 textes écrits, je commence pourtant à voir les fruits que porte mon exercice. Je ne me suis pas forcément amélioré dans la narration – composer une bonne histoire, un bon récit, je le comprends de plus en plus, me semble nécessiter plus qu’une semaine – mais je vois une évolution claire et nette de mon style d’écriture toujours plus assuré et affirmé. Puisse-t-il continuer à évoluer indéfiniment. Car chaque texte est le premier texte, et tous les nouveaux textes sont autant de nouvelles expériences.
Bradbury Sunday #34 : « Tue moi une fois, tue moi deux fois… »
Merci de respecter la licence Creative Commons à laquelle sont soumis mes textes.
Je vous exhorte, chère lectrice, cher lecteur, à m’envoyer une critique à l’adresse donnée dans le formulaire de contact. Les remarques et autres commentaires – constructifs ! – m’aideront à avancer tout autant, même plus, que les compliments.
De bonnes lectures, et à dimanche prochain !